Le Mans – Monuments paroissiaux

Voici l’ordre de déroulement de ce chapitre:

  • CATHÉDRALE 1. monument du clergé; 2. chapelle Jeanne d’Arc; 3. monument britannique; 4. monument armée de Pologne
  • ÉGLISE NOTRE-DAME DE LA COUTURE
  • ÉGLISE NOTRE-DAME DU PRÉ
  • ÉGLISE SAINT-BENOIT
  • ÉGLISE SAINT-PAVIN
  • ÉGLISE SAINT-MARTIN DE PONTLIEUE
  • ÉGLISE SAINTE-JEANNE D’ARC ancien Hôtel-Dieu de COËFFORT
  • ÉGLISE SAINT-GEORGES-DU-PLAIN
  • ÉGLISE NOTRE-DAME DE SAINTE-CROIX
  • ÉGLISE SAINT-LAZARE
  • EGLISE SAINT-BERTRAND
  • plaque commémorative du grand séminaire
  • chapelle de l’Hôpital
  • chapelle de la Sainte-Famille (quartier du Maroc)
Transept des orgues de la cathédrale

dédicace en latin au bas du monument

Ce monument a été élevé sur l’initiative de Monseigneur Grente, à la mémoire des quize prêtres et dix-sept séminaristes du diocèse morts pour la France. Il a été inauguré le 15 mars 1921. Son emplacement dans le transept sud a nécessité le déplacement du gisant de la Reine Bérengère (aujourd’hui abbatiale de l’abbaye de l’Épau).

(livret Les monuments aux morts de l’église Notre-Dame de la Couture et de la cathédrale Saint-Julien; commémoration du 11 novembre 2018)

Le nom de l’architecte H.Laffillée et du sculpteur Jean Pavie et un autre nom A.Guénot sont gravés dans la pierre dans l’épaisseur de la stèle.

La seconde inscription au bas du monument date de 1939-1945.

Chapelle du chœur de la cathédrale

(livret Les monuments aux morts de l’église Notre-Dame de la Couture et de la cathédrale Saint-Julien en 2018)

La Semaine du Fidèle du diocèse du Mans, en date du 1er décembre 1918, appelle à une souscription pour l’érection d’une chapelle à la Bienheureuse Jeanne d’Arc. Il s’agit d’honorer le vœu fait par Monseigneur de la Porte, du haut de la chaire de la cathédrale, le dimanche 6 septembre 1914. La chapelle choisie est celle qui tenait lieu de sacristie. Elle est restaurée, bénie en avril 1921 et une nouvelle sacristie sera construite. Un autel sera élevé et des plaques en pierre de Tonnerre portant les noms de 201 paroissiens morts lors ce ce conflit, seront apposées. Elles seront bénies le 17 décembre 1922. L’ensemble du travail de sculpture est l’oeuvre d’Émile DEMAS de l’atelier Robert GAULLIER.

Pour la fête nationale de Sainte Jeanne d’Arc, les fidèles sont appelés à pavoiser leurs maisons et une cérémonie est organisée à la cathédrale. Ce sera l’occasion pour les jeunes filles du diocèse de recueillir des offrandes en vue  d’offrir une statue de Sainte-Jeanne d’Arc pour la chapelle dédiée, à la demande de Monseigneur Grente.

De chaque côté de l’entrée de la chapelle, deux plaques commémoratives, en onyx, sont apposées.

L’une rappelant le vœu: Le VI septembre MCMXIV, au nom des diocésains, SGMgr Raymond de la Porte, évêque du Mans, fit vœu de dédier à la B.Jeanne d’Arc une chapelle de la Cathédrale si la ville était préservée des violences de la guerre.

L’autre, l’accomplissement de ce vœu: La ville du Mans ayant été préservée, S.G. Mgr Georges Grente, évêque du Mans, bénit et dédia solennellement la chapelle  de Sainte-Jeanne d’Arc, le dimanche XVII avril MCMXXI, IIIe anniversaire de son sacre.

Puis, les noms et prénoms de 201 soldats sont gravés par ordre alphabétique, sur 8 plaques enchâssées dans les arcades latérales de la chapelle.

les 3 baies centrales

Après ces réalisations de 1918 à 1922, il restait à concevoir des verrières pour les cinq fenêtres, sur le thème de la vie de Jeanne d’Arc, sur les plans de l’architecte des Beaux-Arts. Cette création est possible grâce au financement de l’industriel Julien Chappée. Les trois auteurs de ces verrières sont Henry Morin pour les maquettes et cartons, Albert Echivard et Julien Chappée pour l’exécution des vitraux. La baie axiale qui constitue un résumé de la vie de la sainte, est livrée en 1927. Les quatre autres verrières seront livrées en 1929. Sur la gauche de la baie centrale, vous pourrez remarquer un Poilu du 117e R.I., rappelant que Maxime, le fils d’Albert Echivard, jeune peintre verrier, talentueux, meurt dès le début de la Grande guerre.

Pilier en haut de la nef de la cathédrale

Cette plaque avec sa dédicace bilingue est illustrée, dans sa partie haute, par la représentation des pays de l’empire britannique.

Cathédrale; bas-côté droit de la nef

Cette plaque a été apposée en juin 2017 pour le centenaire de cet évènement, avec une explication sur le côté. Le premier camp de cette armée polonaise était stationnée à Sillé-le-Guillaume. Un ensemble de panneaux rappelle ces faits près de l’endroit où était situé ce camp.

De part et d’autre de l’arc central

Sur ces deux plaques de marbre rose, sont gravés en lettres dorées, les noms de 237 soldats. Chaque plaque est ornée d’une sculpture en bronze représentant  lauriers et fourragère avec un crucifix au centre duquel est apposée la croix de guerre. Deux références bibliques sont gravées, en latin, au bas des plaques:

  • plaque de droite: Ils furent rendus forts dans les combats
  • plaque de gauche : Que mes morts ressuscitent

Les noms et prénoms sont inscrits  sur quatre colonnes, par ordre alphabétique.

  • Pierre AJAM- Henri ALAIN-Georges APPERT-Edouard BAROUX-Alphonse BARRAS-Paul BAUDELLE-Auguste BAZOGE-Eugène BEALET-Albert BEAULIEU-Louis BELLANGER-Louis BENARD-Louis BERTHE-Charles BESNIER-Raoul BIDET-René BIDON-Prosper BIGOT- Raymond BILARD-Maurice BLANCHARD-Ernest BLANCHET-Alphonse BLAVETTE-Roger BOCQUET-Roger BODEREAU-Michel BONNET-Louis BORDIER-Maurice BOURCK-André BOURGOIN-André BOURILLON-Robert BOUTEILLE-Robert BOUTTIER-Emile BOUVERAU-Edouard BOUVET-Louis BREBION-Paul BRIERE-Jean BRIOIS-Bernard de BRISOULT-Marcel BROUSSAIL-Marcel BURON-Joseph CABANE-André CABARET-Charles CABARET-Clément CALAIS-Victor CASSIN-Georges CHALES-André CHARDIN-Marcel CHARDIN-François CHATEAUX-Henri CHAUDET-Marcel CHEMINADE-Georges CHEMINAIS-Marcel CHEVALIER-Maurice CHEVEREAU-Gustave CHEVREUIL-Charles CHEVREUX-Alexandre CHOPLIN-Henri CISSE-Henri COLLIN-Auguste COME-Léon COMMUNAUDAT-Eugène COMPAIN-Gaston CORMIER
  • Louis CORNILLE-Georges COSNUAU-André du COUEDIC-François COYAUD-André CRENN-Georges DAVID-Adrien DEGOULET-Louis DELAIS-Marcel DEVEAU-Edmond DOLBEAU- Auguste DOMARD- Arthur DORBEAU-Albert DRANS-Maurice DUBOIS-Eugène DUNAS-Bienaimé DUTOT-Maxime ECHIVARD-Théodore ECHIVARD-Albert ERARD-Paul ERARD-Georges ERMENAULT-Robert ERNOU-Emile ESNAULT-Auguste FERRE-Maurice FOINY-Auguste FOLLIOT-Adolphe FONTAINE-Robert FORTIN-Michel FOUCHARD-Pierre FOUCHER-Lucien FOUQUET-Léon FOURNIER-Marcel FROGER-André de FROMONT-Juline GAGNEBIEN-Marcel GANDON-Charles GANIVET-Maurice GARION-Raymond GARION-Charles GAUBERT-Albert GAUCHER-André GAUDEMER-Emmanuel GAUTIER-Louis GEILLE-Fernand GIRARD-Joseph GIRARD-René de GIRONVILLE-Alfred GOUBET-Georges GOUNON-Roger GOUPIL-Charles GRASSIN-Henri GRASSIN-Raymond GRASSIN-Léon GUEVINEC-Marie GUIBERT-Gustave GUITTON-Eugène HAMARD-Raymond HARAN-Adrien HERCE
  • Léopold HEUDE-Henri HOUTIN-Pierre HUBERT-Charles JAILLET-Alfred JANVRIN-André JOLIVIER-Edgar JOREAU-René JUINIER-Bernard LAENGER-Louis LAGRANGE-Alphonse LALOUE-Jules LARDEUX-Albert LASSAY-Léon LE BAYON- Henri LE FAUCHEUX-Pierre LE FAUCHEUX-Jean LEBANNIER-Georges LEBERT-Auguste LECOURT-Lucien LECUREUX-Arthur LEGUAY-Charles LELARGE-Joseph LEMAIRE-Paul LEMAITRE-Edouard LEMASSON-Lucien LEMONNIER-Louis LENOBLE-Louis LEPINAY-André LEPINE-Maurice LESSART-Virgile LETONDAL-Henri LETOURNEUX-Paul LETULLIER-Maurice LEVAYER-Emile LEVEQUE-Juline LIVET-René LORIOT-Raoul LOUVEL-Adrien MACE-Henri MAGAT-Gaston MAIGNAN-Julien MAINGAIT-Louis MAINGOURD-Alexis MAIZIERES-André MARCHAND-Auguste MARREAU-Louis MAUBOUSSIN-Marcel MAUBOUSSIN-Jacques MAZERAT-Georges MENAGER-Robert MENAGER-Emile MERILLON-Charles de la MESSUZIERE-François de la MESSUZIERE-Alfred METTETAL-Raphaël MEUNIER-Léon MICHAUD-René MINARD
  • Jean MONTMITONET-Henri MORTAGNE-Marius MOTTIN-Joseph MOUSSEAUX-Louis MOUTIN-Georges MULOT-Eugène NAIL-Julien NICOLLE-Gaston NOULENS-Louis PAPILLON-Victor PAPIN-Henri PAVARD-René PAVIE-Gaston PEHU-Charles PELLION-Léon PERIGNON-Yves PERRO-Gaston PINARD-Auguste PIRON-Eugène POISSON-Paul POISSON-Léon PONSCARNE-Maximilien PORTE-Emile POUVREAU-Georges PRUD’HOMME-Pierre PRUD’HOMME-Maurice QUERU-Eugène RAGOT-Louis REBOURSIER-Henri RICHARD-Charles ROCHE-Maurice ROCHE-Jules ROCHER-Charles RODIER-Henri ROUILLARD-Albert SALMON-Joseph SEITIER-René SIMON-Roger SIMON-Gabriel TAILLIEZ-Gustave TASSEL-Henri TERUIN-Octave TESSIER-Raoul THERY-Louis THIONNAIRE-Marc THOMAS-Bernard TIMON-Ferdinand TOUCHARD-Jules TOUZARD-Camille VALLEE-Henri VAUMARTIN-Abel VAUTCRANNE-Henri VERITE-Fernand VIGNER-Charles VILLEFEU-Edgar VINCENT-Henri VINCENT-Maurice WALLUT

(livret Les monuments au morts de l’église Notre-Dame de la Couture et de la cathédrale Saint-Julien– 2018)

Le ministre de l’instruction publique et des Beaux-Arts donne son autorisation pour placer les deux plaques commémoratives sous la surveillance de l’architecte en chef des Monuments Historiques de la Sarthe.

(Arch. municipales du Mans 1 M 16/1648)

De part et d’autre du portail

Ce monument en deux parties, est signé Lionel Royer, sans date. Le similaire, à l’église Saint-Benoit, est daté de 1920. Chaque partie est organisée de la même façon, sur une toile marouflée: au centre,une figure féminine en pied, nimbée, et de chaque côté, les noms de 196 soldats inscrits par ordre alphabétique. Les prénoms ne figurent pas pour tous les noms.

Haut de la nef, sur un pilier

Cette peinture sur toile marouflée est signée Lionel Royer 1920. Elle reprend l’allégorie de la France victorieuse peinte pour l’église Notre-Dame du Pré: les traits sont les mêmes mais elle tient une palme à la main gauche et le drapeau sans le glaive à la main droite. Les noms des batailles sont inscrits de part et d’autre de l’allégorie; celle-ci est surmontée d’une croix autour de laquelle est inscrit une locution latine signifiant: « Par ce signe tu vaincras ». Des rayons partant de cette croix irradient tout le tableau. Les noms et prénoms de 51 soldats sont inscrits en noir sur deux colonnes, dans la partie inférieure. (ouvrage 303 Les monuments aux morts peints dans les églises, p70)

Pilier du transept
Au fond de la nef

La dédicace est gravée en lettres dorées sur une plaque de marbre gris apposée à la base de cet autel; il reçoit une Piéta et sur la figuration de la croix, des médailles militaires et des palmes sont finement gravées et dorées. Aucun nom de soldats n’est inscrit.

à gauche, en entrant

Le bas de cette plaque apposée sur le mur de l’édifice indique: « cet édifice rendu au culte le 28 octobre 1951 était affecté à l’armée depuis 1816 partie du quartier Cavaignac de 1872 à 1914 il a été occupé par le 26e Régiment d’artillerie de campagne »

En effet, à l’origine de cet édifice, la fondation au 12e siècle d’un hôpital dont il ne reste que cette grande salle. Après différentes modifications,le site accueille finalement la caserne de la Mission renommée caserne Cavaignac en 1816. En 1829, la grande salle est divisée en deux niveaux par un plancher à la hauteur des chapiteaux. Le rez-de-chaussée éclairé par de nouvelles baies devient une écurie tandis que les étages sont aménagés en chambres chauffées par des poêles et cheminées.

Bas-côté gauche, en entrant

Les noms de 24 soldats sont gravés en lettres dorées sur cette plaque noire. Celle-ci est apposée sous le vitrail représentant St Georges terrassant le dragon. Une petite plaque a été ajoutée pour 3 victimes de 1939-1945.

Transept gauche

Cette église consacrée en 1857 est la réalisation de Basile Moreau (1799-1873) prêtre du diocèse du Mans et fondateur de la famille religieuse de Sainte-Croix. En 1870, à cause des difficultés financières , les pères jésuites prirent en charge le collège et l’église. Ces derniers quittèrent l’église en 1911; l’école servira de caserne et l’église d’entrepôt de matériel militaire. Les religieux de Sainte-Croix reprirent possession de leur église en 1931; celle-ci fut restaurée et de nouveau consacrée en 1938.

Le monument est en pierre. La dédicace est inscrite sur les bras de la Croix. Les noms de 21 victimes de la seconde guerre mondiale sont inscrites en lettres dorées sur deux plaques en marbre, en indiquant soit leur grade soit leur situation (prisonnier- déporté-fusillé). La partie supérieure est réalisée en mosaïque.

Bulletin paroissial du 14 novembre 1920 

Ces plaques commémoratives ne sont plus en place dans l’église.

Jardin de la maison diocésaine Saint-Julien, rue Albert Maignan

A l’origine cette plaque était insérée dans un monument sculpté avec la croix de guerre, fourragère,rameaux de laurier et de chêne dans la partie supérieure et casque sur palme dans la partie inférieure.

Les noms de 16 victimes de la Grande Guerre sont gravés en lettres dorées sur cette plaque de granit, avec la précision de leur avancée dans les études, de leur grade, du régiment auquel ils appartenaient et de leur année de décès. Une seconde plaque a été ajoutée avec les noms de 2 victimes de la seconde guerre mondiale. Cette plaque d’abord apposée au grand séminaire, fut transférée dans la chapelle du Centre de l’Étoile. Elle est maintenant dans le jardin de la maison diocésaine Saint-Julien. Elle a été restaurée par Isabelle Gasdebois et bénie par Monseigneur Lesaux le 9 novembre 2021.

Le grand séminaire du diocèse du Mans était établi à l’abbaye Saint-Vincent de 1816 à 1906. (voir La foi dans le siècle)

Cette église est dédiée à la mémoire de tous les morts de la Grande Guerre

Cette église a été bénie et inaugurée le dimanche 2 janvier 1994 par Mgr Gilson. Elle avait été endommagée par une tempête et touchée par la foudre en février 1990. Elle a été reconstruite. Qu’en est-il de l’église d’origine?

1923
1932

La première église est inaugurée par Mgr Grente le 8 juillet 1923 ; le clocher de cette église n’est adjoint que plus tard et béni le 9 octobre 1932.

Cette première église est bâtie grâce au travail du curé de la paroisse (paroisse Saint-Bertrand du Gué de Maulny créée le 12 janvier 1913) Édouard Roulet.

C’est lui qui fonde « l’œuvre du Souvenir perpétuel pour les morts de la patrie et les âmes du purgatoire ».

archives diocésaines Semaine du fidèle du 16 décembre 1916
archives diocésaines Semaine du fidèle du 10 novembre 1917

Une ordonnance de l’Évêque du Mans érige en Confrérie sous le vocable de N.-D. des Sept Douleurs cette œuvre du Souvenir Perpétuel en avril 1917.

L’œuvre du souvenir perpétuel des morts pour la Patrie

journal Ouest-Eclair du 21 novembre 1921

On a commencé les travaux de l’église Saint-Bertrand

journal Ouest-Eclair du 18 mai 1922

Ce nouveau procédé consiste en l’utilisation de pierre reconstituée moulée en remplacement de la pierre de taille; ce qui est plus économique et permet de construire plus haut.

La première pierre est bénie le 2 juillet 1922 après la construction des fondations.

verrière offerte par les officiers, sous-officiers, soldats hospitalisés 1914-1918

C’est un ensemble de trois vitraux qui a été réalisé par H. Morin, J. Chappée, A. Echivard, la même association qu’à la cathédrale, dans la chapelle de Sainte Jeanne d’Arc. Ce vitrail de droite représente un soldat (tenue de 1914) blessé secouru par un aumônier militaire et une religieuse de la communauté d’Evron; Jeanne d’Arc veillant sur la scène. Ce vitrail a été inauguré le 16 octobre 1938. (Voir Stéphane Tison)

archives diocésaines Semaine du fidèle du 28 octobre 1923

photos: archives diocésaines

Cette chapelle a été détruite lors des bombardements de 1944 et reconstruite (photo dans le document cité ci-dessus); elle n’existe plus en 2024.

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