Solesmes

Lavoirs publics

(Arch. dép. Sarthe, 2 O 345/7)

Plan 1922 Arch.dép.Sarthe 3 S 376

(Arch. dép. Sarthe, 3 S 376)

Bateau-lavoir public

(Arch. dép. Sarthe, 2 O 345/7)

La carte postale montre ce bateau-lavoir dans les années 1950.

Bateau-lavoir de l’abbaye

(Arch. dép. Sarthe, 3 S 108)

Monument aux morts

Cimetière

Le monument est érigé dans un espace limité par des bordures en ciment, devant le mur d’enceinte, près de l’entrée côté rue. Une allée le sépare de la chapelle. Six obus sont fixés sur les bordures; des arbustes et jardinières encadrent le monument surélevé par trois emmarchements. Seule la partie en façade reçoit les inscriptions gravées en rouge dans la pierre: sur le socle, les noms de 28 soldats sur deux colonnes par ordre alphabétique sous une croix de guerre accrochée à un ruban; en-dessous, pour 1939-1945, les noms de 11 victimes.

Une plaque vient d’être ajoutée en 2021, sur l’emmarchement avec 3 noms.

Emplacement

(Arch. dép. Sarthe 2 O 345/7)

Carré militaire de l’hôpital de l’abbaye

Cimetière

Ce carré  militaire est signalé dans le centre de la ville par le nom de la place du Souvenir Français. Dans le cimetière, un écriteau nous rappelle que le carré a été rénové par l’Etat, la commune de Solesmes et le Souvenir Français à l’occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale et inauguré le 10 février 2018. D’autre part, un panneau signalétique donne toutes les explications de sa création.

Monument paroissial

Il n’y a pas de monument paroissial dans cette commune.

Guerre 1939-1945

4, rue Jules-Alain

Samedi 17 février 2024, Daniel Leroy, président du comité du Souvenir Français et Pascal Lelièvre, maire de la commune ont déposé une gerbe au pied de cette maison où a vécu Marguerite ARON. Elle est morte dans les chambres à gaz du camp nazi d’Auschwitz le 15 février 1944.

Une plaque a été apposée sur cette maison en sa mémoire, en 2004. Depuis, une cérémonie honore sa mémoire tous les dix ans.

Elle était née à Paris en 1873. Issue d’une famille juive, elle s’était convertie au catholicisme en 1914, à l’âge de 41 ans. Femme de lettres et professeur, elle était venue s’installer à Solesmes en 1936, à la fin de sa carrière.

propos de M. Daniel Leroy au journal Ouest-France

Arrêtée par la Gestapo à la sortie de la messe, elle sera déportée malgré le plaidoyer à la Kommandatur du Mans du père abbé de l’abbaye de Solesmes, dom Germain Cozien.

La maison où logeait Marguerite Aron avec la sculpture évoquant Saint Paul, œuvre de Claude Gruer, solesmien ayant connu Marguerite.

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