Parigné-le-Pôlin

Lavoir

D187, face à la grille de l’entrée du château des Perrais

Le bassin est alimenté par la source descendant du parc des Perrais; elle passe sous la rue principale dans une galerie voûtée en pierres et briques; le trop-plein passe en canalisation sous la route départementale et réapparaît dans la prairie pour descendre vers la mare aux bœufs au bord de la RN 23.

Les laveuses attendront la couverture en tuiles jusqu’en 1902. La rénovation totale a été réalisée en 2007.

plan 1946     archives communales

(Arch.dép.Sarthe 2 O 231/7 et panneaux réalisés par la commune lors des JEP 2016)

témoignage de Denise Serpin

témoignage de Françoise Besnard (panneaux installés sous le lavoir lors des JEP 2016)

Monument aux morts

Près de l’église

Cette pyramide blanche s’élève sur un double emmarchement. La dédicace est gravée sur le fût sous une croix de guerre et une palme. Les noms et prénoms de 25 soldats sont gravés en lettres dorées, sur une plaque noire qui a remplacé la plaque de marbre rose; en fin de liste, deux victimes de 1939-1940 et une victime en Algérie. Les noms qui se trouvaient sur deux autres petites plaques rectangulaires apposées en façade (l’une pour 1870 et l’autre pour un déporté) ont été reportés sur cette plaque.

photo 2020
  1. Janvier 1921 : au cimetière; inhumation des morts de la guerre à l’entrée du terrain des concessions perpétuelles ; pour le monument hésitation entre cette parcelle ou l’allée principale.
  2. Septembre 1921 : placer le monument au bas du bourg, sur un terrain particulier mais le propriétaire s’y oppose.
  3. Décembre 1921 : carrefour des chemins de Parigné à Cérans Foulletourte et de Parigné à la route nationale, à 50 m du cimetière ; mais ce terrain n’est plus communal et le monument obstruerait le fossé d’écoulement des eaux.

(Arch. dép. Sarthe 2 O 231/7)

Monument paroissial

Chœur de l’église

Ce tableau commémoratif est une toile marouflée, signée Lionel Royer. Les noms et prénoms de 25 soldats sont inscrits avec la date et le lieu de leur décès, de chaque côté d’un Christ en croix, assez sanglant. Deux palmes dorées apparaissent en fond de tableau en résonance avec l’auréole du Christ. La dédicace est écrite sous la barre de la croix et tout au sommet, un extrait de l’Évangile selon saint Jean: Je suis la Résurrection et la Vie.

( « Les monuments aux morts peints dans les églises » inventaire général du patrimoine culturel p 79 éditions 303)

Cette plaque dédiée à une victime de la guerre 1939-1945, est fixée sous le monument.

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